Collection Anne Ma Muse. L’Accident. Mon Premier Black (2/2)

Ce soir, Chris71 me fait un immense plaisir, il m’a créé une collection personnelle racontant principalement mes fantasmes.
Ce soir tous ont compris que mon fantasme, ce sont les bites bien grosses et surtout lorsqu’elles sont noires.

Amadou vient chez moi faire un constat à l’amiable, mon fils Jean ayant un peu abîmé sa jolie Renaud 5 customisé.

J’avais prévu mon coup, alors pour éviter les frais que va engendrer la bêtise de mon fils je suis devant lui, prête à m’offrir.
Pantalon de jean baissé, j’ai devant mes yeux un objet inimaginable pour une honnête femme comme moi.
Mais quand j’ai reçu ce jeune homme en tenue très provocante, étais-je bien honnête ?
Devant mes yeux, elle est plus longue que celle de mon amant Paul.
La principale différence se trouve au niveau du gland le sien est plus gros, pour éviter de dire qu’il est éléphantesque.
J’avais comme fantasme une verge noire comme celle que je lèche en ce moment, mais la difficulté à la mettre en bouche, me montre que j’ai présumé de mes mâchoires.
Mais si cela m’évite de payer les réparations, je suis prête à prendre des risques de me retrouver à l’hosto pour me remettre la mâchoire.
Je suis comblée, après avoir touché cette queue de couleur.
Je m'attendais à ce qu'elle soit plus longue et plus grosse, comme on le raconte dans des histoires.
C’est drôle la différence entre les fantasmes et la réalité.
Amadou, est le pieu le plus grand que ce que je connaisse, sans être impressionnant, il est longiligne.

Par chance, je suis en vacances cette semaine, j’ai tout le temps de profiter de l’occasion qu’il me donne de m’occuper de cette bite noire.
Comme je l’espérais, sa queue, développée quand je la suce dépasse largement mes espérances.
Elle est bonne tout de même, je vais du gland aux couilles et en remontant, ma langue tourne autour de son gland.
J’ai une chance tout de même, ce gland est très gros, un centimètre de plus de largeur que la tige qui le porte, je dois reconnaître qu’un tel ensemble est loin de me déplaire.


Ma bouche finit par descendre tout au long.
J’ai souvent sucé mon mari avant notre séparation, mon ami actuel aussi, mais le passage de cette masse allant jusqu’au fond de ma gorge est nouveau.
Quand elle ressort, j’ai tellement bavé que je dois passer ma main tout au long pour lui nettoyer.
Je recommence plusieurs fois, je sens que je suis à la limite de recevoir sa semence au fond de ma gorge.
Il doit le sentir lui aussi.
Amadou me relève, s’allonge légèrement sur son fauteuil et m’aide à me positionner.
Je m’assieds sur lui, en écartant mes cuisses.
Je suis face à lui, on se regarde, c’est sa verge qui me pose un problème.
Elle est si dure, qu’il la couche pour mieux la remonter et me la fourrer entre mes lèvres intimes.
Je suis tellement mouillée, trempée, dégoulinante qu'elle entre facilement au fond de ma chatte.
Il est moins bien monté que je ne l’espérais venant d’un noir, mais ce gland épais que je sens glisser divinement, écartant mon conduit avec facilité, comme je l’ai dit, étant une vraie fontaine.
Je lui entoure le cou, avec mes bras, je plonge mon regard dans le sien et c’est comme cela que nous commençons à bouger.
Je suffoque sous la pénétration, son gland me remplit comme jamais on ne m’a rempli.
Son regard est intense tout le temps où je suis assez lucide avant que mes yeux ne tournent et que le plaisir se déclenche en moi.
Je ferme les yeux, j’ignore où je suis.
Je gémis, je crie, c'est intense.
Mon cœur bas la chamade, il doit le sentir quand sa bouche engame un de mes mamelons avant de passer à l’autre.
Un frisson traverse tout mon corps.
Il y a des semaines qu’une bite me saute de cette façon.

Avec mon ami Paul, c'est classique, rapide, au lit, lui sur moi à la missionnaire.
Quand cela va-t-il se passer la prochaine fois ?
Il est encore en moi et déjà je pense à une autre fois.
Je l’ignore, je me demande si je vis un rêve, aussi je veux profiter à fond de cette verge réalisant une partie de mon fantasme, un sexe noir en moi !

Il explose, je sens le sperme s’échapper sur les côtés de mon sexe quand je redescends mon bassin jusqu’à ses couilles.

Il a dû décharger une quantité énorme en rapport des deux gouttes de mon vieil amant.
J’ai l’impression d’être la seringue d’une infirmière quand avec son piston elle vous injecte son produit et que votre corps est dans l’impossibilité d’absorber toute la quantité du liquide.
Je ne peux retenir les ah ! ah ! ah ! ponctuant notre coït.
C'est vrai que je suis très bruyante quand je jouis.
Plusieurs fois je me suis contente que mon fils soit parti chez sa copine pour trois jours.
Ma tête tombe sur son épaule, je le sens toujours bander en moi, de mon côté je suis à plat.
Je me garde de bouger, sa main venant entourer ma nuque, comme pour me donner sa tendresse après ce moment de folie.
Plusieurs minutes passent avant que j’émerge enfin.
Je redresse ma tête, je suis heureuse.
Nous avons baisé divinement sur ce fauteuil et sa bouche qui reprend la mienne me fait penser qu’il a aimé.

- Eh bien ma salope, toi quand tu veux quelque chose, tu sais l’obtenir.

Soit franche, tu espérais que ma queue serait identique à celle décrite par beaucoup dans des histoires, longue et grosse !
Tu vois, tu la sens encore, elle est normale, sauf le gland un peu disproportionné.
Elle t'a bien fourrée et faite jouir, avoue.

- Je dois reconnaître avoir beaucoup aimé, tu es un merveilleux amant !

Nous sommes toujours assis face à face, son sexe en moi.
Je sens que sa vigueur est intacte, c'est incroyable, il reste à débander alors qu’il a expulsé son sperme.
Il avance ses grosses mains, de vrais battoirs.
Il les met sous mes fesses et recommence à me pistonner la chatte en me soulevant et me laissant retomber.
Pour lui je ressemble à un sac de plumes, il est tellement musclé.
C’est la première fois qu’un homme recommence à me sauter cinq minutes après avoir déchargé une première fois.
J’ai souvent fantasmé, je l’ai, mais la performance de ce garçon dépasse tout ce que j’aurais pu imaginer.


Il me baise deux fois, son sexe a bien écarté mon vagin qui doit être bien ouvert, voire béant.
Dommage qu'il ne se soit amusé avec mes mamelles qu’avec parcimonie !
Il me relance dans une course folle, une chevauchée fantastique.
Quel homme, je monte jusqu’à mon plafond.

Combien de tend l’orgasme qui me traverse est présent dans mon corps.
Ce qui a de bien, c’est que lorsque je reviens à moi, il m’a allongé sur mon canapé.
J’ai loupé mon coup quant à la voiture, il est parti.
Pourtant mon regard se pose sur son jean toujours au sol.

- Allez ma mis, viens boire un café, j’ai tout trouvé dans ta cuisine.

Je crois faire une vanne, j’ai réussi tout à l’heure, là je me prends un râteau.

- Le café vient de ton pays !
- Je suis né à la clinique des bleuets près du centre-ville, et non de l’hémisphère sud.
- Et tous les blacks sont loin d’avoir une grosse queue.
- Comment parles-tu, je comprends que ton fils soit mal élevé ?
- Qui es-tu pour dire que mon fils est mal élevé !

J’ai la mauvaise habitude d’être soupe au lait.

- Mal élevé car il aurait dû frotter la caisse de ma voiture plutôt pour que je vienne chez toi.
Je bois mon café et je te laisse, je reviendrais faire le contrat dans quelques jours.

Après un dernier baisé, sa tasse vidée, il part.
Il va falloir que j’envisage un nouveau fantasme, pourquoi pas une deuxième venue d’Amadou pour me sodomiser.
Ce gland entrant lentement en moi, j’en mouille d’avance.
Je vais en toucher deux mots à Chris71, je suis sa muse.

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